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Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katerine Pancol





J'ai dévoré et adoré les crocodiles et les tortues, mais les écureuils m'ont déçue.

K. Pancol nous avait habitués à des personnages fouillés que l'on pouvait croiser au coin de notre rue ou dans lesquels ont pouvait se reconnaitre et qui par là-même étaient terriblement attachants. Mais là, la source est tarie. Joséphine n'en finit pas de se poser des questions et nous ennuie, et le trait est vraiment trop fort pour junior surdoué beaucoup trop doué de 3 ans. Ils ne sont plus que des caricatures d'eux-mêmes auxquelles ont ne peut plus croire.
Les derniers chapitres terminent l'histoire à la va vite comme si KP voulait vite lâcher ses personnages dont elle ne sait plus quoi faire elle aussi.